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Accusé de "menaces de violences physiques", Cyril Hanouna réagit pour la première fois

Accusé de "menaces de violences physiques", Cyril Hanouna réagit pour la première fois
 
 

Un journaliste de Canal +, Julien Cazarre, a porté plainte contre Cyril Hanouna et Enora Malagré pour "menaces de violences physiques ", apprenait-on hier dans un article du Canard Enchaîné. L’animateur s’est exprimé pour la première fois sur cette affaire sur le site de Jean-Marc Morandini.

Julien Cazarre, chroniqueur dans l'émission sportive "J+1" sur Canal+ Sport, a déposé une plainte contre Cyril Hanouna et Enora Malagré pour "menaces de violences physiques et appels téléphoniques malveillants". Une interview accordée au site FranceFootball.fr par ce journaliste est à l’origine du conflit. Il y déclarait : "On m'a proposé 'Touche pas à mon Sport', le copier-coller de 'Touche pas à mon poste' sur D8. Cyril Hanouna m'a appelé, m'a dit qu'il aimait bien ce que je faisais, malheureusement, je ne peux pas en dire autant! C'est pas du tout ma came. Gilles Verdez c'est le dîner de cons et Enora Malagré c'est la vulgarité à l'extrême. Ça ne m'intéresse pas. J'ai besoin de bosser avec des gens que j'admire un peu."


"Je voulais qu'on se rencontre pour en parler les yeux dans les yeux"

Touchés par ces propos peu amènes à l’égard de l’équipe de Touche pas à mon poste, Cyril Hanouna et Enora Malagré auraient téléphoné à Julien Cazarre pour s’expliquer avec lui. "C'est vrai que j'ai pris mon téléphone pour lui parler", confirme le trublion de D8. "Je lui ai dit ce que je pensais, car je défends toujours mes équipes et dans le cas présent Estelle Denis, Enora Malagré et Gilles Verdez ont été blessés par les propos qui ont été tenus dans la presse, affirme-t-il. Je lui ai simplement dit que je voulais qu'on se rencontre pour en parler les yeux dans les yeux. Mais cette histoire est close. On s'est reparlé depuis et tout va bien. En tout cas de mon côté je continuerai à dire directement et franchement ce que je pense aux gens sans passer par la presse. Fin de l'histoire."


 

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