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L'ADN révèle la vérité: Jacques Boël n'est pas le père de Delphine

 
 

La RTBF annonce que Jacques Boël n'est pas le père de Delphine. Il a réalisé un test ADN qui prouve qu'il n'est pas le père biologique.

La science a parlé. Jacques Boël n’est pas le père biologique de Delphine Boël. Un test ADN a été réalisé, selon la RTBF, et en a apporté la preuve. Jacques Boël est le père légal de Delphine Boël. Le test ADN a été réalisé à partir de trois ADN: celui de Jacques Boël, de Delphine Boël et celui de la mère, Sybille de Sélys Longchamps.

"M. Boël a estimé qu'il était également temps pour lui de connaître la vérité. Pour cette raison-là, il a accepté de se soumettre à un test ADN et ce test a révélé que M. Boël n'est pas le père de Delphine. Et donc, à partir de là, il ne s'oppose plus à la demande de Mme Delphine Boël", a indiqué l’avocat de Jacques Boël sur le site de la chaîne.

L'affaire Boël sera plaidée mardi devant le tribunal civil de Bruxelles
 
Les plaidoiries dans l'affaire Boël débuteront mardi devant la 12e chambre du tribunal civil de Bruxelles. Delphine Boël avait introduit une action visant à faire reconnaître l'ex-roi Albert II comme son père. Toutes les parties ont remis leurs conclusions cet été et les plaidoiries pourront donc débuter, à huis-clos, mardi. En juin 2013, Delphine Boël avait introduit une procédure en contestation de paternité de Jacques Boël, son père légal, et en reconnaissance de paternité d'Albert II, devant le tribunal de première instance de Bruxelles.

Delphine Boël se plaint de discrimination

Elle avait, pour cela, cité Albert II en justice pour qu'il se soumette à un test ADN. Elle avait aussi cité les enfants royaux Philippe et Astrid, étant donné que Albert II était encore protégé par l'immunité royale à l'époque et qu'il aurait donc pu ne pas accepter de se soumettre au test. En septembre 2013, elle avait annulé cette procédure afin d'en réintroduire une similaire, en ne citant plus que Albert II, celui-ci n'étant plus protégé par son immunité après avoir abdiqué en juillet 2013.

Delphine Boël avait expliqué son action par le fait qu'elle subissait des discriminations en tant que fille présumée du roi Albert II.



 

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