Albert et Paola ont du mal à joindre les deux bouts!

Le Soir Magazine a mené l'enquête et il semblerait que depuis la réduction de leur dotation, le couple a quelques soucis financiers.

Ils se sont faits plus discrets depuis l'abdication d'Albert II, mais en réalité, Albert II et Paola ont encore des activités et des obligations. Cela coûte bien sûr de l'argent et la réduction de leur dotation pose donc problème. C'est le Soir magazine qui a mené l'enquête et qui révèle qu' "ils ont fait leurs comptes et ils ne s'en sortent pas" . On apprend dès lors via un proche de la famille royale qui s'est confié au magazine qu'ils ont dû s'adapter à la baisse de la dotation. "Le Roi et la Reine ont dû réduire leur train de vie comme tout qui voit son budget raboté" explique ainsi cette source, qui ajoute : "Bien sûr, les montants évoqués restent des sommes importantes, mais n'oubliez tout de même pas qu'il s'agit d'un ancien chef d'État. L'ancien Premier ministre, tout socialiste qu'il est, devrait regarder du côté de la France comment on y traite les anciens Présidents" . Ce proche est encore plus catégorique concernant notre ancien roi : "Il n'y a pas à tergiverser, Albert a été, de tous les Souverains qui ont abdiqué, le plus mal traité" , lance-t-il encore au Soir Magazine. Un autre proche d'Albert II et Paola a profité de cette enquête pour remettre les pendules à l'heure concernant l'idée reçue qu'ils seraient en permanence en vacances : "Alors qu'on les dit tout le temps en vacances, croyez-le ou non, le roi Albert et la reine Paola ont maintenu pas mal d'activités, peut-être pas médiatisées, mais bien réelles. Et qui occasionnent pas mal de travail pour la toute petite équipe qui les entoure" , lâche-t-il. Depuis son abdication, Albert II continue à exercer des fonctions de représentation, avec une dotation de 923.000 euros par an. Il doit donc puiser dans ses réserves personnelles pour mener à bien son rôle. Cela ne va pas s'arranger dès 2015 puisque dès l'année prochaine et jusqu’en 2019, la dotation sera encore diminuée de 2% par an. Le Soir Magazine a bien sûr contacté le Palais royal sur ce sujet, mais sans obtenir de réaction.