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Pascal le Grand Frère HORS DE LUI: "Si je ferme ma salle de sport, je coule et je vire mon fils" (vidéo)

Pascal le Grand Frère HORS DE LUI: "Si je ferme ma salle de sport, je coule et je vire mon fils" (vidéo)
© Twitter - Anonyme Citoyen
 
 

Déjà durement touchées lors du confinement, les salles de sport ont dû fermer leurs portes dès lundi dans plusieurs grandes villes françaises en raison de la progression du Covid-19, une décision "incompréhensible" pour les patrons de ces clubs, sous le choc, qui alarment sur la survie du secteur. Ils ne s'y attendaient pas, encore moins dans cette période de rentrée, cruciale pour les salles de sport qui d'ordinaire enregistrent près de 30% de leurs abonnements. L'annonce mercredi 23 septembre du ministre de la Santé, Olivier Véran, les a donc cueillies à froid.

Selon les autorités, contrairement aux salles de cinéma ou de théâtre, les salles de sport sont bel et bien problématiques, Olivier Véran évoquant des "espaces confinés où le port du masque est impossible (...) et qui sont des lieux hélas de contamination importants".

Un choc. Et une incompréhension manifeste.

Invité sur le plateau de l'Instant de Luxe sur Non Stop people le 1er octobre, Pascal Soetens a poussé un coup de gueule. L'homme plus connu comme "Pascal le Grand Frère" est très énervé contre les mesures imposées par le gouvernement français suite à l'épidémie de Coronavirus. "Je n'arrête pas de pousser des coups de gueule en ce moment sur les réseaux et j'espère que là, je vais être entendu", a débuté l'homme propriétaire d'une salle de sport depuis 2006. 

"On nous demande de fermer les salles de sport. Je vais être très clair avec tout le monde. Peu importe les sanctions, je n'en ai rien à faire. Je vous le dis ouvertement, je ne fermerai pas ma salle de sport", a poursuivi l'homme en colère. 

"Moi c'est mon business. Si je ferme là maintenant, je coule mon business et je vire mon fils, il n'y a plus de salaire", a lancé Pascal Soetens, conscient que cette décision peut avoir des conséquences. 

"Cela me coûtera ce que ça me coûtera, je ne fermerai pas (...) Il y en a marre que l'on nous prenne pour des pigeons. Même les restaurateurs ne devraient pas fermer", a-t-il dit. 

"Alors qu'est-ce qu'il y a, je suis prêt... Venez, venez, je ne fermerai pas! Venez devant ma porte, je vous empêcherai de rentrer, mais je ne fermerai pas (...) Je reste ouvert, par contre, je porte un masque... et tout le monde portera un masque, si c'est nécessaire puisque le masque protège", a insisté l'homme.

Et si des policiers arrivent, "je vais leur demander de porter un masque et on va faire du sport (...) On va se révolter, on ne va pas se laisser faire, ça suffit, c'est deux poids, deux mesures, donc maintenant, stop, on en a marre", a lâché Pascal, qui a ajouté qu'il a eu beaucoup de mal à se relever financièrement. 

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