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L'ex-femme de Jean-Luc Delarue se confie: "Ce combat, c'est pour notre fils"

 
 

Elisabeth Bost,l'ex femme de Jean-Luc Delarue, a décidé de sortir de son mutisme afin d'expliquer sa bataille pour leur fils, Jean.

Quinze mois après la mort de Jean-Luc Delarue , Elisabeth Bost, son ex-femme, a décidé de sortir de son silence dans les colonnes de Paris Match. Elle évoque notamment la bataille judiciaire qu'elle livre avec Anissa, la veuve de l'animateur concernant l'héritage. "Ce combat, c'est pour Jean. Je revendique le droit de pouvoir poursuivre l'éducation de mon fils avec les moyens dont nous étions convenus avec son père, avoue-t-elle. "C'est pour cela que je demande le maintien de la pension versée de son vivant, bien que cela m'ait été refusé puisque, à la surprise générale, les comptes de Jean-Luc étaient vides au moment de son décès." Elle est d'ailleurs revenue avec émotion sur l'annonce du décès . "J'ai appris la mort de Jean-Luc, le 24 août à midi par les médias. Puis, j'ai alors su qu'il était mort la veille à 10 heures. Personne ne nous avait prévenus", explique-t-elle avant d'ajouter! "J'en veux à ceux qui ont laissé un petit garçon de cinq ans se préparer à aller embrasser son père alors que ce dernier était décédé depuis 24 heures". (...) "Jean voulait des photos de Jean-Luc et lui, mais on lui a fait savoir que les albums de photos qui se trouvaient chez son père avaient tous disparu", raconte-t-elle. "Jean voulait aussi le stylo que son père avait tout le temps sur lui. Nous avons reçu une réponse écrite stipulant que c'était impossible, car Anissa Delarue considérait que cela faisait partie de son legs". Elisabeth Bost n'a pas non plus caché sa colère contre ceux qui ont essayé de salir son histoire avec Jean-Luc Delarue. " Je suis adulte, je sais la vérité de la relation que j'ai vécue avec Jean-Luc. Ce qui me révolte, c'est qu'on puisse tenter d'installer un doute dans l'esprit de notre fils en allant lui dire que ses parents ne se sont pas aimés", confie-t-elle. "Suggérer que sa mère l'empêchait de voir son père mourant, c'est ignoble. Heureusement, j'ai des photos, de belles lettres, des témoignages de notre entourage qui, si Jean doute un jour, lui prouveront qu'il est le fruit d'une jolie histoire d'amour".
"Il faudrait qu'on se taise afin de le laisser grandir paisiblement. Je voudrais pouvoir élever mon fils paisiblement" , conclut-elle.

 

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